Retour

Accueil Réforme Analyses Actions Contributions Liens Presse


Epreuves anticipées de français
(Du projet du 2.3.2001 au B.O.)

B.O. n°26 du 28 juin 2001. Lire notre analyse.

Des annales zéro ont été mises début juin 2001 sur le site de l'académie de Reims ainsi qu'une variante du projet du 02/03 (épreuve orale).

Epreuves anticipées de français

(projet du 2.3.2001)

Lire notre analyse : projet EAF 2002
.
Il s'agit du texte figurant au format .pdf sur la page lettres du SNES (14/03/01, origine : MEN). Voir aussi sur cette page, en pdf : amendements au programme de Première et entretien du 28/02/01 avec Alain Viala.
 
    

Texte du site d'Aix-Marseille

(04/2001)

Lire notre analyse : projet EAF 2002 bis
.
Il s'agit de la lettre du MEN aux recteurs sur le site d'Aix-Marseille archive. Le texte n'est pas daté précisément ; fin avril, les propriétés de la page indiquent une mise à jour du 09/04/2001.
 
    

Epreuves anticipées de français

Projet du 28.05.01 - B.O. n°26 du 28/06/01

Lire notre analyse : projet EAF 2002 ter
.
Il s'agit d'une quatrième version figurant sur la page lettres du SNES et correspondant au texte du BO. Vous y trouverez également au format pdf les grandes lignes de la troisième mouture archive, datant de début mai.
[enlevé dans la 2° version]
 
    
[ajouté] [enlevé dans la 4° version]
 
    
[ajouté/modifié]
 

Les épreuves anticipées de français se composent d’une épreuve écrite et d’une épreuve orale, pour toutes les séries préparant au baccalauréat d’enseignement général ou technologique. La nature des épreuves est identique pour tous les candidats, mais les sujets peuvent être différenciés selon les séries.

Ces épreuves évaluent les compétences acquises en français tout au long de la scolarité et portent sur les contenus du programme de la classe de première.

 
      

Objet : Baccalauréats général et technologique. Définitions des épreuves de français-littérature applicables à compter de la session 2002 des épreuves anticipées.

Les définitions des épreuves écrites et orales de français - littérature suivantes sont applicables à compter des épreuves anticipées de la session 2003 des examens des baccalauréats général et technologique, organisées en juin 2002.

Les épreuves anticipées de français évaluent les compétences acquises en français tout au long de la scolarité et portent sur les contenus du programme de la classe de première.

 
      

Objet : Baccalauréats général et technologique. Définitions des épreuves de français-littérature applicables à compter de la session 2002 des épreuves anticipées.

Les définitions des épreuves écrites et orales de français suivantes sont applicables à compter des épreuves anticipées de la session 2003 des examens des baccalauréats général et technologique, organisées en juin 2002.

Les épreuves anticipées de français vérifient les compétences acquises en français tout au long de la scolarité et portent sur les contenus du programme de la classe de première.

 

Elles évaluent les compétences et connaissances suivantes :
- maîtrise de la langue et de l’expression orale et écrite ;
- aptitude à lire, à analyser et à interpréter des textes
et documents ;
- aptitude à tisser des liens entre différents textes
et documents pour dégager une problématique ;
- aptitude à mobiliser une culture littéraire fondée sur
la connaissance du programme de la classe de première, sur des lectures et une expérience personnelle ;
- aptitude à construire un jugement argumenté et à prendre en compte d’autres points de vue ;
- exercice raisonné de la faculté d’invention.

 
      

Elles évaluent les compétences et connaissances suivantes:
- maîtrise de la langue et de l'expression orale et écrite;
- aptitude à lire, à analyser et à interpréter des textes;
- aptitude à tisser des liens entre différents textes pour dégager une problématique;
- aptitude à mobiliser une culture littéraire fondée sur
les travaux conduits en cours de français, sur des lectures et une expérience personnelles;
- aptitude à construire un jugement argumenté et à prendre en compte d'autres points de vue
que le sien;
- exercice raisonné de la faculté d'invention.

 
      

Elles évaluent les compétences et connaissances suivantes:
- maîtrise de la langue et de l'expression orale et écrite;
- aptitude à lire, à analyser et à interpréter des textes;
- aptitude à tisser des liens entre différents textes pour dégager une problématique;
- aptitude à mobiliser une culture littéraire fondée sur les travaux conduits en cours de français, sur des lectures et une expérience personnelles;
- aptitude à construire un jugement argumenté et à prendre en compte d'autres points de vue que le sien;
- exercice raisonné de la faculté d'invention.

 

Epreuve Ecrite

Les sujets sont construits selon le principe suivant :

  • un corpus de textes et de documents, y compris iconographiques. Le nombre de textes proposés dans le corpus peut varier mais n’excède pas cinq.
    Ce corpus peut comprendre une œuvre intégrale brève ou un extrait long (n’excédant pas trois pages). La problématique du corpus est toujours
    liée explicitement à un ou des objets d’étude du programme de première imposés dans la série du candidat.

  • une à trois questions portant sur le corpus et appelant des réponses entièrement rédigées. Les questions proposées aux élèves vérifient qu'ils ont pris connaissance de l'ensemble du corpus.
    Elles mettent en jeu leurs compétences de lecture, les invitent à mettre en relation les éléments du corpus et à engager un travail d'interprétation. Elles les préparent ainsi à élaborer leur production écrite.
    Cet ensemble est
    noté de six à huit points en fonction des sujets et des séries.

  • des travaux d’écriture, au choix du candidat, liés à la totalité ou à une partie du corpus. Cette production écrite est notée de 12 à 14 points.
    Les travaux d’écriture consistent en une composition française qui peut être :
    - soit une écriture de commentaire ;
    - soit une écriture de dissertation ;
    - soit une écriture d’invention.

  •  
          

    EPREUVE ECRITE (DUREE 4 HEURES).
    COEFFICIENTS: 3 EN SERIE L, 2 EN SERIES ES ET S, 2 EN SERIES STT, SMS, STL, STI, HOTELLERIE, TECHNIQUES DE LA MUSIQUE ET DE LA DANSE.

    Les sujets prennent appui sur un corpus de textes (éventuellement accompagné par un document iconographique) représentatif d'un ou de plusieurs objets d'études du programme de première imposés dans la série du candidat.
    Ce corpus ne devra pas imposer au candidat un temps trop long de lecture. Il pourra comprendre une œuvre intégrale brève ou un extrait long (n'excédant pas trois pages). La problématique du corpus se situe dans le cadre des objets d'étude du programme de première imposés dans la série du candidat.

    Une ou deux questions portant sur l'ensemble du corpus et appelant des réponses entièrement rédigées peuvent être proposées aux candidats.
    Elles mettent en jeu leurs compétences de lecture, les invitent à mettre en relation les éléments du corpus et à engager un travail d'interprétation. Elles les préparent ainsi à élaborer leur production écrite.
    Le barème de notation est explicitement indiqué, le nombre de points attribué aux questions n'excédant pas six points dans les sujets des séries générales et huit points dans les sujets des séries technologiques.

    Le candidat a ensuite le choix entre trois types de travaux d'écriture, liés à la totalité ou à une partie du corpus: un commentaire ou une dissertation ou une écriture d'invention. Cette production écrite est notée au minimum sur quatorze points pour les sujets des séries générales et sur douze points pour les sujets des séries technologiques.

     
          

    EPREUVE ECRITE (DUREE 4 HEURES).
    COEFFICIENTS: 3 EN SERIE L, 2 EN SERIES ES ET S, 2 EN SERIES STT, SMS, STL, STI, HOTELLERIE, TECHNIQUES DE LA MUSIQUE ET DE LA DANSE.

    Les sujets prennent appui sur un ensemble de textes (corpus) distribués au candidat, éventuellement accompagnés par un document iconographique si celui-ci contribue à la compréhension ou enrichit la signification de l'ensemble.
    Ce corpus pourra également consister en une œuvre intégrale brève ou un extrait long (n'excédant pas trois pages). Il doit être représentatif d'un ou de plusieurs objets d'étude du programme de première imposés dans la série du candidat et ne doit pas réclamer, à celui-ci, un temps de lecture trop long.

    Une ou deux questions portant sur le corpus et appelant des réponses rédigées peuvent être proposées aux candidats.
    Elles font appel à leurs compétences de lecture les invitent à établir des relations entre les différents documents et à en proposer des interprétations. Ces questions peuvent être conçues de façon à aider les candidats à élaborer l'autre partie de l'épreuve écrite, la partie principale consacrée à un travail d'écriture.
    Lorsque de telles questions sont proposées, le barème de notation est explicitement indiqué, le nombre de points attribué aux questions n'excède pas 4 points dans les sujets des séries générales et 6 points dans les sujets des séries technologiques.

    Qu'il soit ou non accompagné de questions, le sujet offre aux candidats le choix entre trois types de travaux d'écriture, liés à la totalité ou à une partie des textes étudiés : un commentaire ou une dissertation ou une écriture d'invention. Cette production écrite est notée au minimum sur 16 points pour les sujets des séries générales et sur 14 points pour les sujets des séries technologiques quand elle est précédée de questions, sur vingt dans toutes les séries quand il n'y a pas de questions.

     

    L’écriture de commentaire porte sur un texte ou un passage d’un texte du corpus, dont la qualité d’écriture justifie cet exercice. Le candidat rédige un commentaire qui rend compte de sa lecture et met en valeur la singularité du texte. Il peut être proposé au candidat, quelle que soit la série, un commentaire comparé de deux textes du corpus. Dans les séries technologiques, un parcours d’étude est proposé pour guider le candidat.

    L’écriture de dissertation consiste à composer une réflexion argumentée à partir d’une problématique fondée sur le corpus. Le candidat appuie son développement sur le corpus, sur les éléments du programme de première, sur ses lectures et sa culture personnelles.

    L’écriture d’invention consiste à élaborer une production écrite selon une consigne explicite et à partir d’un ou plusieurs éléments du corpus. Ce travail d’écriture peut prendre des formes variées ; il s’appuie sur les objets d’étude du programme de première.

     
          

    Le commentaire porte sur un texte ou un passage d'un texte du corpus, dont la qualité d'écriture justifie cet exercice. Il peut être proposé au candidat un commentaire comparé de deux textes du corpus. En séries générales, le candidat compose un commentaire qui présente avec ordre un bilan de lecture organisé de façon à donner force au jugement personnel qu'il prépare et qu'il justifie. En séries technologiques un parcours d'étude est proposé pour guider le candidat.

    La dissertation consiste à composer une réflexion argumentée à partir d'une problématique littéraire fondée sur le programme et dont les textes du corpus sont représentatifs. Le candidat appuie son développement sur le corpus, sur les éléments du programme de première , sur ses lectures et sa culture personnelles.

    L'écriture d'invention permet aussi d'évaluer la compétence littéraire des candidats. Elle consiste à élaborer une production écrite selon une consigne explicite et à partir d'un ou plusieurs éléments du corpus. Ce travail d'écriture peut prendre des formes variées; il s'appuie sur les objets d'étude du programme de première.

     
          

    Le commentaire porte sur un texte littéraire. Il peut être également proposé au candidat de comparer deux textes. En séries générales, le candidat compose un devoir qui présente de manière organisée ce qu'il a retenu de sa lecture, et justifie son interprétation et ses jugements personnels. En séries technologiques le sujet est formulé de manière à guider le candidat dans son travail.

    La dissertation consiste à conduire une réflexion personnelle et argumentée à partir d'une problématique littéraire issue du programme de français. Pour développer son argumentation, le candidat s'appuie sur les textes dont il dispose, sur les "objets d'étude" de la classe de première, ainsi que sur ses lectures et sa culture personnelle.

    L'écriture d'invention contribue, elle aussi, à tester l'aptitude du candidat à lire et comprendre un texte, à en saisir les enjeux, à percevoir les caractères singuliers de son écriture. Elle permet au candidat de mettre en œuvre d'autres formes d'écriture que celle de la dissertation ou du commentaire. Il doit écrire un texte, en liaison avec celui ou ceux du corpus, et en fonction d'un certain nombre de consignes rendues explicites par le libellé du sujet.
    L'exercice se fonde, comme les deux autres sur une lecture intelligente et sensible du corpus, et exige du candidat qu'il se soit approprié la spécificité des textes dont il dispose (langue, style, pensée) afin d'être capable de les reproduire, de les prolonger, de s'en démarquer ou de les critiquer.
    En aucun cas on ne demande, le jour de l'examen, l'écriture de textes de pure imagination, libre et sans contrainte. Le document iconographique, s'il est joint au corpus, ne peut servir que de support. En aucun cas il ne sera demandé d'en faire une étude pour lui-même.
    L'écriture d'invention peut prendre des formes variées. Toutefois, comme elle se fonde sur les contraintes littéraires des genres inscrits au programme de la classe de première, et qu'elle doit se prêter à une évaluation objective des correcteurs, elle s'inscrit dans les orientations suivantes :
    - article (éditorial, article polémique, article critique -éloge ou blâme-, droit de réponse...
    - lettre (correspondance avec un destinataire défini dans le libellé du sujet, lettre destinée au courrier des lecteurs, lettre ouverte, lettre fictive d'un des personnages présents dans l'un des textes du corpus ... ),
    - monologue délibératif, dialogue (y compris le dialogue théâtral).
    - discours devant une assemblée,
    - essai,
    - récit à visée argumentative sous forme de fable, d'apologue...
    Pour la série littéraire, on ajoutera
    - amplification (écriture dans les marges ou les ellipses du texte), parodie et pastiche.

     

    Epreuve orale

    L’épreuve orale comprend deux temps complémentaires et d’égale importance : l’examen d’un texte littéraire et un entretien.

    Elle s’appuie sur un document rendant compte de l’ensemble du travail réalisé pendant l’année dans le cadre du projet pédagogique mis en œuvre dans la classe. Ce document, conforme au programme officiel, comprend au minimum les objets d’étude imposés dans la série du candidat. Il précise les textes étudiés en classe et les démarches suivies.

     
          

    EPREUVE ORALE : DUREE 20 MINUTES; PREPARATION 40 MINUTES
    COEFFICIENT 2 TOUTES SERIES.

    L'épreuve orale s'organise en deux temps: l'étude d'un texte littéraire et un entretien. Chacune des parties de l'épreuve est évaluée sur dix points.

    Elle s'appuie sur une fiche pédagogique, renseignée par le professeur, rendant compte de l'ensemble du travail réalisé pendant l'année dans le cadre du projet pédagogique mis en œuvre dans la classe. Cette fiche est la même pour tous les élèves d'une même classe. Elle est signée par le professeur et visée par le chef d'établissement. Elle présente toutes les précisions nécessaires pour que l'examinateur soit informé pleinement et sans équivoque du travail préparatoire du candidat.

     
          

    EPREUVE ORALE : DUREE 20 MINUTES; PREPARATION 40 MINUTES
    COEFFICIENT 2 TOUTES SERIES.

    L'examen oral a pour but d'évaluer la capacité du candidat à mobiliser ses connaissances. Il doit lui permettre de manifester ses compétences de lecture, d'exprimer une sensibilité et une culture personnelles, et de manifester sa maîtrise de l'expression orale ainsi que son aptitude à dialoguer avec l'examinateur.

    En vue de l'examen oral, le professeur rédige pour l'ensemble des élèves de sa classe un "descriptif des lectures et activités" réalisées pendant l'année. Ce document rend compte de l'ensemble du travail mis en œuvre dans la classe. Il mentionne explicitement les textes et les œuvres intégrales analysées, les groupements de textes étudiés, les lectures cursives effectuées, ainsi que leurs relations avec les objets d'études. Il présente toutes les précisions nécessaires pour que l'examinateur soit informé pleinement et sans équivoque du travail du candidat. Il est signé par le professeur et visé par le chef d'établissement.

    L'examen oral se déroule en deux parties qui s'enchaînent, précédées d'un temps de préparation unique de 40 minutes. Chacune des deux parties, d'une durée de 10 minutes, est évaluée sur 10 points.
    La première partie de l'épreuve est laissée à l'initiative du candidat qui présente librement son exposé. L'examinateur peut cependant intervenir. en fin exposé, pour faire préciser tel ou tel point.
    La seconde partie est un entretien entre le candidat et l'examinateur, conduit par ce dernier.

     

    Dans les séries générales, le candidat est invité à découvrir un texte choisi de telle façon qu’il puisse mettre en œuvre à son propos ses acquis de l’année. La longueur du texte proposé est déterminée en fonction de sa cohérence et de sa difficulté. L’examinateur indique explicitement au candidat l’objet d’étude auquel se rattache le texte proposé. En une dizaine de minutes au maximum, le candidat analyse le texte selon la démarche de son choix.

    Dans les séries technologiques, cette analyse porte sur un texte étudié pendant l’année.

     
          

    En référence aux travaux effectués pendant l'année, l'examinateur propose au candidat de découvrir et d'analyser un texte qui lui permette de mettre en œuvre les connaissances et compétences acquises. La longueur du texte proposé est déterminée en fonction de sa cohérence et de sa difficulté. L'examinateur indique explicitement au candidat l'objet d'étude auquel se rattache le texte proposé. Le candidat rend compte de sa lecture et la justifie par des analyses précises.

    Dans les séries technologiques le candidat est guidé pour sa préparation par une ou plusieurs questions posées préalablement par l'examinateur.

     
          

    Préparation :

    Pour la première partie de l'épreuve l'examinateur propose au candidat un extrait choisi parmi les lectures répertoriées dans le "descriptif des lectures et activités" ainsi qu'une question qui permette au candidat d'organiser et d'orienter son étude. Cette question porte sur l'ensemble du texte. Le texte est directement rattaché à un des objets d'étude du programme de la classe de première ; sa longueur, délimitée par l'examinateur, est déterminée en fonction de sa cohérence et de sa difficulté.

    Pour la seconde partie de l'épreuve, l'examinateur propose au candidat une ou deux questions qui lui permettent d'élargir et d'approfondir sa réflexion par une mise en relation du texte étudié pour la première partie de l'épreuve avec l'un des trois éléments suivants :
    - une des lectures cursives faites pendant l'année et relevant du même objet d'étude,
    - l'œuvre intégrale ou le groupement de textes d'où le texte étudié pour la première partie de l'épreuve a été extrait,
    - l'objet d'étude auquel se rattache le texte étudié.
    Dans ce dernier cas, pour éviter la récitation pure et simple d'une question de cours, et afin de donner un support concret à la réflexion du candidat, l'examinateur peut également accompagner les questions d'un texte très proche de ceux présentés dans le "descriptif des lectures et activités". Ce texte peut être choisi dans une anthologie littéraire ou dans un manuel de première.

    Epreuve :

    Dans la première partie de l'épreuve le candidat rend compte de sa lecture du texte choisi par l'examinateur et orientée par la question initiale. Il doit s'efforcer, non de faire une étude "complète" du passage proposé, mais de répondre à la question posée, à partir d'une observation précise du texte.

    Dans la seconde partie de l'épreuve, l'entretien, guidé par l'examinateur, permet d'évaluer la capacité du candidat à dialoguer, expliciter les questions posées, réinvestir ses connaissances en établissant des rapports et des comparaisons entre le texte étudié et l'un des autres éléments proposés, sans qu'il lui soit pour autant demandé d'établir des analyses exhaustives.

    Dans l'ensemble de l'épreuve, l'examinateur peut évaluer la capacité du candidat à trouver des éléments de réponse aux questions posées et à les présenter de manière claire et ordonnée. Le candidat doit analyser les questions qui lui ont été posées, comprendre le travail qui lui est demandé, chercher des éléments de réponse appropriés, faire des choix, opérer des mises en relation claires, pertinentes, argumentées. L'épreuve orale, si elle fait essentiellement appel au travail mené pendant l'année, ne se réduit pas à la simple récitation d'une analyse déjà faite en classe.

    Tous les candidats scolaires doivent présenter un "descriptif des lectures et activités". Dans le cas contraire, l'examinateur la mentionne au procès verbal et procède tout de même à l'interrogation à partir d'un texte de son choix et après discussion avec le candidat sur le travail accompli et les lectures faites dans l'année.
    Les candidats individuels ou les candidats issus des établissements scolaires hors contrat d'association avec l'Etat présentent l'épreuve dans les mêmes conditions que les candidats scolaires. Le "descriptif des lectures et activités" est alors constitué par le candidat lui-même.

     

    L’entretien permet à l’examinateur d’élargir le cadre de l’interrogation. Il donne la possibilité au candidat, guidé par les questions de l’examinateur, de mettre le texte en perspective par rapport à l’objet d’étude concerné, de faire valoir ses connaissances, d’ exprimer une sensibilité et une culture personnelles.

     
          

    L'entretien donne la possibilité au candidat, guidé par les questions de l'examinateur, qui s'appuie sur la fiche pédagogique, de mettre le texte en perspective par rapport aux objets d'études du programme, de faire valoir ses connaissances, d'exprimer une sensibilité et une culture personnelles.

    Les candidats individuels ou les candidats issus des établissements scolaires hors contrat d'association avec l'Etat présentent l'épreuve dans les mêmes conditions que les candidats scolaires. La fiche pédagogique est remplie par le candidat et ne comporte aucun visa.

    Les candidats scolaires qui ne présenteraient aucune fiche pédagogique sont en situation irrégulière. L'examinateur le mentionne au procès verbal et procède tout de même à l'interrogation à partir d'un texte de son choix et après discussion avec le candidat sur le travail accompli et les lectures faites dans l'année.


     


    Sauver les lettres
    www.sauv.net
     
    HautRetour