Les désarrois du professeur Torts-Much ou les tribulations d’un enseignant au pays des chinoiseries…
Il était une fois une institution « bienveillante » – pour les « apprenants » exclusivement, cela va sans dire ! – qui avait à cœur de ménager les fleurs délicates qu’elle cultivait péniblement. Toutes étaient supposées, selon un dogme ministériel, disposer spontanément de germes de connaissances innées qui ne demanderaient qu’à éclore, si toutefois leurs jardiniers voulaient bien en prendre le soin requis – en suivant à la lettre les recommandations de la hiérarchie. Les professeurs étaient donc sommés de distribuer généreusement l’engrais des…